Unan,

Prénom: Unan
Sexe: masculin
Age: 12 ans
Groupe: indigène / Ombraïl

Lieu d'origine (Terre/Noa/monde extérieur...): Noa, son peuple n'a pas de lieu d'origine à proprement parlé mais s'est rassemblé aux abord du Désert de Kand dans les territoires innexplorés. Baltien de naissance.

Description physique: Petit et frèle, Unan est très mince et possède une grace propre aux siens. Ses cheveux blancs aux reflets bleutés et ses yeux son gris sombre comme un ciel d'orage avec un liseret noir très fin autour de l'iris. Il à la peau pâle et légèrement transparente.
Comme tout ceux de sa race il à de longues oreilles effilées et quatres écailles disposées en losange dans le bas de son dos, ces écailles son d'un bleu pâle intence et dures comme du diamant.

Description psychologique: Unan n'a jamais connus d'autre de son peuple, il à vécue seul avec sa mère jusqu'à la mort de celle-ci. On ne lui à jamais réellement expliqué ce qu'il était, mais il à appris à ne faire confiance à personne, à voler et à se cacher pour suvivre. Il est craintif et farouche mais dégage une innocence et une sensibilité extrème. Il parle également très peu, comme s'il n'avait jamais appris, se contentant d'un language à base de sons et de cris.

Mais s'il se retrouve face au sang il change du tout au tout jusque dans son apparence physique - en effet ses pupilles se dillattent complètement lui donnant un regard complèttement fou. Sa grace et son agilité son misent au profit d'un style de combat qui lui est propre, il bouge comme si l'attraction et l'espace n'avait pas prise sur lui. Il deviens agressif et contairement à son état normal, parle ou plutôt insulte sans aucune subtilité. Dans ces moments là il dit s'appeler Ankouù. (pour vous donner une idée, il bouge un peu comme Envy de FMA mais ressemble plus à Warth niveau caractère).

Histoire: Des éclats de rires provenaient d'un petit bassin d'eau niché entre des rocher et l'on pouvait également percevoir des bruits d'eau.
Deux voix étaient discernables, l'une femminine et mature et une autre enfantine, pure, sonnant comme une cloche de cristal.

" Unan, sors de l'eau mon ange ou tu vas être aussi frippé qu'un vieux crapau. "

Les bruit d'eau cesèrent et un enfant d'environ 5 ans, aux superbes cheveux blanc lumineux sortit du bassin en riant. Unan couru vers sa mère et se jetta dans ses bras, trempant la fine robe de la femme qui sourit et glissa une main fine et longue dans la courte chevelure de son fils.

" C'est malin petit garnement! Je suis aussi trempée que toi maintenant. " Elle avait prit un faux air méchant mais en voyant l'adorable bouille du dit garnement, la femme ne put s'empècher de le serrer dans ses bras.

Elle était grande et belle, possèdant une sorte de grâce aristocratique qui rajouttait à la majestée de son image. Elle était Baltienne et de haute naissance de surcroit. Elle avait rencontré un homme et l'avait aimé. Celui-ci avait rapidement été accepté par sa famille et un mariage somptueux avait été organisé. Comble du bonheur, son ventre s'arondissait, bonbant légèrement l'avant de sa robe de mariée.
Mais tout c'était écroullé lors de l'accouchement. Car son enfant n'était pas Baltien, il en avait pourtant l'apparence, mais les petites excroissances aux bas de son dos le classait d'une catégorie à part.
Sa mère avait été horifiée, tout comme les accoucheuses. Elles avaient voulu lui retirer son enfant, le mettre à mort.
Elle avait refusée. Son épou et sa famille l'avait renié, la traitant de folle et l'avait bannie de la capitale et du royaume de Baltia.

Mais tout en sèchant les cheveux neigeux de son enfant elle ne regrètait rien. Ce petit être était pour elle la plus belle chose qui lui soit arrivé. Elle avait tout perdue, se faisait jetter des pierres dès qu'elle pénètrait dans une ville, mais elle avait trouvé le vrai bonheur avec celui qu'elle considérait comme un cadeaux de Noa, son unique trésor, Unan.

Ils avaient longtemps voyagés avant de trouver se petit coin de paradis. La terre y était aride et il n'y poussait pas grand chose, le soleil désechait tout mais ils y étaient heureux. Elle arrivait à cultiver assez pour elle et son fils et le peu d'herbe qui poussait près du bassin suffisait à nourrir leur deux érans qui leur donnaient lait et laine.

A cinq ans son fils ne parlait toujours pas avec des mots, mais aucun mot ne pouvait traduire ce que disait ses grands yeux couleur d'orage. Ils étaient si expressifs qu'aucune parole ne servait.

Elle finit de le sècher et lui enfila une tunique de dras brune contrastant avec la blancheur de la peau de l'enfant quand la porte de leur petite bâtisse s'ouvrit dans un grincement laissant passer quatre hommes de haute stature.

L'un d'eux dégaina un sabre et d'un mouvement brusque, il saisit l'enfant par l'épaule. Celui-ci hurla et tout se déroula très vite.
Il se rappel avoir entendu sa mère crier. Puis il avait vu du sang, se liquide pourpre et poisseux qui s'écoulait sur plancher jusqu'à ses pieds. L'enfant était tombé en reculant et se remis à hurler. Le sang continuait de couler, de couler, de couler, de s'échaper de ce qui fut sa mère. Et il avançait vers lui, toujours plus près, il coulait, coulait, coulait et lorsqu'il atteind ses pieds, Unan cessa d'exister pour laisser place à Ankoù.

Le gosse fendit l'air et fut sur les homme en une fraction de seconde. La seule chose dont il se souvient est l'expression d'horreur dans le regard du dernier des quatres intrus et de ce sang, ce sang qui maculait tout autour de lui, ce sang qui le recouvrait tout entier.

Il avait mit le feu à la petite bâtisse après avoir sortit les cadavres des assassin de sa mère et les laissa aux charognards, ne leur laissant pas l'honneur de partager la sépulture de sa mère.

Lorsqu'il revint à lui, il ne voyait plus qu'une fine colone de fumée dans le lointain.

Depuis ce jour, depuis maintenant 7 ans, Unan survit, et cherche se grand frère qui le protègea ce jour là.

Arme(s): un couteau et le sabre qui tua sa mère.
Pouvoir(s): Je ne sais pas si l'on peut considérer sa comme un pouvoir... Ankoù, celui qu'il appel son grand frère.
Autre: La seule phrase qu'il sait prononcer "Est la Mort me protègera." Ankoù signifiant la Mort à vous d'y voir ce que vous voulez.

On pourrait dire ça comme ça mais se n'est pas de la schizphénie, j'expliqerai ça plus en détail dans la présentation de son peuple.

J'aime... je dirait même plus: j'adore.

Un peu de jenesse dans le forum ne fera pas de mal mdr, heuu... Rien d'autre à dire sur cette fiche réussie.

Je t'ajoute donc aux indigènes, tu peut commencer à jouer mais Jack peut te demander d'éditer ta fiche...

Cordialement

Josh

P.S: Si tu me dit que tu a toi-même dessiné ton avatar alors je fait la danse des canards en caleçon sur un air de hardrock^^

si je te dis que c'est une image de Wrath de FMA que j'ai modifié tu la fait quand même ta danse?????

s'il te plaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis!!!!!!!!!

merci pour cet acueuil ^^

vu à quel point je me suis cassé la tête pour lui, ça fait du bien de voire ses efforts si chalereusement récompensés ^^

Merci

C'est en effet Wrath de FMA. Mis à part la couleur des cheveux, il est pas mal identique. QUEL CHANGEMENT!

Bon. Bienvenue. Pour moi, ça va. GL HF, etc etc.